La HAS (Haute Autorité de Santé)->http://www.has-sante.fr/] vient de publier ses recommandations pour le choix des méthodes contraceptives par la femme.
Téléchargez le rapport de la HAS
Toutes ces recommandations sont très importantes, car elles constituent, pour la première fois, un document médical OFFICIEL qui permettra aux femmes de demander aux médecins la contraception qui leur convient - et non celle qui convient au médecin.
Je suis heureux, pour ma part, que les choses (…)
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Santé
Articles
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C’est désormais officiel en France : le DIU ("stérilet") n’est pas "réservé aux femmes ayant eu des enfants" ! ! !
21 décembre 2004, par Martin WInckler/Dr Marc Zaffran -
J’irais pas me faire soigner par Francis Huster
16 juin 2005, par Martin WincklerTexte de la chronique d’ArteRadio.com
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Opinion unique, arrogance et tutti quanti
1er février 2005, par Martin WincklerDe temps à autre, des confrères m’écrivent pour me faire part de leur désaccord avec le ton que j’emploie. Je leur réponds, et comme ce site est un site de dialogue et d’échange, je publie la correspondance. En voici une toute récente.
MW
Bonjour cher confrère,
Je prends une minute pour vous confier un doute qui me chiffonne depuis quelques temps à la visite de votre site. Seriez-vous un prosélyte du DIU ? Je m’explique : non que j’y sois moi-même opposé, bien au contraire, mais j’ai (…) -
Les enfants qui cherchent à soigner leurs parents...
16 mars 2005, par Martin WincklerEcoutez la chronique sur ArteRadio.com
Pendant longtemps, en France, on a cru que les enfants qui souffraient, c’étaient les enfants qui criaient.
Alors quand un enfant criait, on le soulageait, quand un enfant ne criait pas et se repliait sur lui-même, on disait "il ne souffre pas". On a découvert que c’était très différent, la manière de souffrir des enfants et de réagir à la souffrance est très différente, c’est que les enfants qui souffrent d’une douleur physique ont justement (…) -
Le secret professionnel autorise-t-il les médecins à mentir ou à se taire ?
6 mars 2005, par Martin WincklerPour le médecin traitant, le secret s’applique à toutes les personnes autres que le patient, qu’il s’agisse de la famille, de l’employeur ou d’une compagnie d’assurances et même des autres soignants, sauf quand le partage du secret est indispensable au soin.
Or, alors que le secret n’est pas opposable aux malades, et que ceux-ci attendent de prendre part activement aux décisions médicales les concernant, aujourd’hui en France, certains médecins continuent à mentir à des patients et à (…) -
Annonce d’une mauvaise nouvelle : où en sont les médecins français ?
9 avril 2005, par Martin Winckler(...) J’ai écouté votre chronique du 2 Mars dernier sur l’annonce de la mauvaise nouvelle. En effet je finis actuellement ma thèse de médecine générale précisément sur ce sujet. Je dépends de la faculté de Dijon en Bourgogne, où je n’ai pas eu la chance de bénéficier d’une formation à l’annonce, ni aucune d’ailleurs sur la communication en médecine, ce qui m’a toujours semblé disons surprenant.
Mon étude portait sur le ressenti des médecins vis à vis de l’annonce d’un diagnostic grave. Et (…) -
Malaise dans la compassion
13 mars 2004, par Martin WincklerBertrand Kiefer est médecin, théologien et rédacteur en chef de la très réputée revue suisse Médecine et Hygiène. Je l’ai rencontré une fois, il y a quelques mois, au cours du congrès de la Société Suisse de Médecine Générale. Il m’a impressionné par son intelligence, son humour et son humanité tranquille pétrie de convictions solides. Le texte qui suit est l’un de ses bloc-notes de M&H. Je n’ai pas besoin de dire que j’adhère à chaque mot (et que je suis bien sûr un tout petit peu (…)
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Les généralistes sont-ils vraiment des paresseux ?
31 mars 2005, par Martin WincklerLa saturation des urgences hospitalières amène l’urgentiste Patrick Pelloux à tenter de désigner comme boucs émissaires commodes les médecins généralistes qui se "désengageraient de la permanence des soins". La réalité est qu’aucun médecin généraliste ne se désengage de la permanence des soins, que chacun d’eux l’assume, en moyenne, pendant 55 heures hebdomadaires.
Le travail des généralistes, dans la journée, est probablement moins photogénique, moins visible, moins médiatisé que celui (…) -
" Jeunes Médecins Généralistes : génération sacrifiée ?..."
9 juillet 2004, par Martin Winckler, Sandrine BuscailSandrine Buscail est médecin dans le Nord, et présidente du SNJMG (Syndicat national des jeunes médecins généralistes). Elle connaît bien les difficultés actuelles rencontrées par les médecins de sa génération, et a décidé de leur consacrer un livre actuellement en cours d’écriture.
Plusieurs articles de ce site ont déjà été consacrés à ce malaise (voir les liens en fin d’article). Dans l’optique des bouleversements inévitables du système de soins, il n’est pas possible de considérer la (…) -
Les boutons de Bruno et l’appendicite d’Emmanuel
4 avril 2004, par Bruno SchnebertApprenant la disparition de Robert Merle, Bruno S. m’a envoyé ce beau texte, dont je le remercie. MW.
A l’âge de 6 ans, quand je me suis aperçu que ma vocation médicale était sincère mais qu’il fallait en persuader mon entourage, j’ai entrepris la réalisation d’un classeur de maladies. Je ne soupçonnais pas l’existence de livres de sémiologie tel le " Mathé et Richet ", qui me sert maintenant à caler un synthétiseur dans ma salle de musique, le " Harrison " ou le " Godeau ", (…)